Pétition JUSTICE POUR LOHAN

Pour:conseil regional de Bourgogne, conseil général de Côte d'or, Mairie de Dijon, Monsieur le Procureur de Dijon

Aujourd'hui un petit garçon vit en pouponnière depuis des mois, lui et ses parents ont grand besoin que nous nous mobilisions afin de les aider a retrouver la chaleur et le bonheur de vivre ensemble, enfin réunis. Lohan est séparé de ses parents depuis le 10 février 2011 à la suite d'une histoire "banale" qui a viré au cauchemar.
Après une grossesse difficile, des hospitalisations à répétition et un accouchement provoqué en urgence, Lohan montre sa petite frimousse pour le plus grand bonheur de ses parents le 5 décembre 2010.
Une petite crevette à la santé un peu fragilisée. Mais comme disait sa maman: c'est un guerrier, il va s'en sortir. Lohan a été placé en néo-nat et ses parents ont passé tout leur temps libre avec lui. La maman passait ses journées à l'hôpital au chevet de son fils. Lohan a fait de grosses crises de détresse respiratoires dont certaines ont failli l'emporter. Aucun médecin n'a su expliquer aux parents la raison de ces malaises.
Un mois passe, Lohan fait toujours encore des crises inexpliquée et personne ne semble comprendre pourquoi, au grand désespoir de ses parents qui sont mort d'inquiétude pour leur bébé.

Faute d'explications médicales, l’hôpital a soudain imaginé que la maman pouvait être la cause des malaises de son fils et a porté plainte contre elle en demandant en même temps le placement de Lohan. Interdiction pour ses parents de le voir, plus de nouvelles et la maman sous le coup d'une plainte pour "atteinte à la vie d'un mineur de moins de 15 ans". S'en suit un long calvaire pour la mère: interrogatoires, garde à vue..........., suivie d'une demande de mise en examen.
Lohan reste à l'hôpital mais son état ne s'améliore pas malgré l'absence de sa mère soi disant atteinte du syndrome de Munchausen, selon l'expert nommé par la DASS. Ce qu'il faut savoir, c'est que cet expert n'est autre que l'expert psychiatrique de l’hôpital dans lequel séjourne Lohan.
Les parents se sont tournés vers un avocat qui semblait autant surpris qu'eux de cette aberration tout le monde pensait que cette histoire allait très vite connaitre un fin heureuse. Mais c'était sans compter sur la justice de notre pays. RDV était donc fixé au mois de juin pour une première entrevue avec un juge. De février à juin, c'est long quand on est privé de la présence de son bébé, mais cela ne semble toucher personne en haut lieu.
Lors de l’audience du mois de juin, la maman s'est vu confirmer sa mise en examen malgré que le l’hôpital n'avait aucune preuve cohérente de ce qu'ils avançaient. Ce même jour, alors que la mère du bébé était dans le bureau du juge, Lohan a fait une énième grosse crise de détresse respiratoire ( la preuve que sa maman n'y est pour rien).
Mais en France il existe quelque chose qui s'appelle : LE PRINCIPE DE PRECAUTION. Et c'est sur ce principe que la jutice a décrété que Lohan serait placé en foyer jusqu’à ce que d’autres expertises prouvent que la maman ne représente aucun danger pour son fils.
Les parents n’ont pas hésité à se rendre chez un des plus grands experts psychiatrique de France qui a décrété que la mère ne souffrait en aucun cas du syndrome de Munchausen ce qui contredit totalement les conclusions de l'expert de l’hôpital.

Prochain RDV chez le juge en octobre. Les parents commencent désespérer et c'est avec beaucoup de peine nous les voyons souffrir et perdre un peu plus l'espoir au fil du temps. Le peu de temps accordé en droit de visite aux parents ne peut en aucun cas remplacer une vie de famille pour Lohan.

Malgré le manque de preuves et l’incohérence des accusations, Lohan n'est pas toujours pas rentré chez lui au sein de sa famille qui l'aime et qui n'attend que son retour pour enfin vivre une vie normale. aujourd'hui plus que jamais ils ont tous les trois besoin de vous!
Mobilisons-nous, Aidons-les, signons cette pétition pour le retour de Lohan chez ceux qui l'ont attendu pendant 9 mois et qui l'attendent encore après plus de 200 jours de placement.
Merci de nous avoir lu

Les signataires