Pétition Pour dénoncer les placements abusif, et proposer un changement dans la loi.
Beaucoup de femmes et d'hommes rencontres le problème aujourd'hui.
Les services sociaux ne font que croire des déclarations mensongères d'autres citoyens, qui peuvent être en quête de vengeance, hors la justice ne dit telle pas que l'on est innocent jusque la preuve du contraire, les services de l'aide social à l'enfance ne vérifie pas l'exactitude des faits, et se base sur des suppositions, ne devrais t-elle pas avoir le droits de pouvoir avoir un rapport des antécédents judiciaire des parents, pour mieux cerné le profil psychologique des parents et ainsi éviter des placements, savoir qui a le profil violent ou pas, elle se base sur des ressentiment, mais si un parents est en colère de l'attention apporter a un parent violent, ils diront que cette personne est instable, ils ne sont aucunement psychologue et se base sur quoi ???? Chercher a améliorer la loi en ce qui concerne la protection de l'enfance.
L'anxiété des parents ne devrais en aucun cas être pris en considération dans le jugement, ce qui est un sentiment normal, qui prouve un attachement à l'enfant, celui qui n'éprouve aucun sentiment est une personne qui dois être surveillé et non le contraire. Que sois également écouter les parents après séparation, ce qui expliquerais certains comportement mal interpréter, dans le social, il y a normalement un devoir d'écoute, il doit être respecter sans prendre de conclusion attives.
SOS Parents abusés
Chaque année des milliers de familles ce retrouvent confrontés au placement abusif des leurs enfants sans danger ni maltraitance, juste sur des risques potentiels ou suspicions, déclenché sur de simple dénonciations calomnieuse. Ce climat hostile a généré ses dernières années met un doute sur les réels motivation du service de la protection de l’enfance.
Cela met en danger tous ces enfants en pertes de repères et met inutilement en souffrance des familles, cela coûte chaque année des milliards, comme nous le fait remarqué la cour des comptes.
Seule a penne 20% des placements effectués cet avéré de la maltraitance, mais on maintien malgré tout, les autres enfants placés souvent dans des conditions psychologique déplorable, qui est apparenté a de la maltraitance « institutionnel ».
Les parents ce mobilisent pour faire respecter leurs droits et ceux de leurs enfants et maintenir un lien que certains essais de détruire coûte que coûte, par ses services qui ce disent protéger les enfants, en ne respectant pas leur droit de visites, téléphonique, s’opposant au rapprochement, mais aussi en ne respectant les personnes qu’ils sont.
Obligation imposée au parents, et non respect de la loi par les juges, sous menaces de garder les enfants, médecins, médicaments etc... Les parents ont un médecin, ils sont dans le droit de choisir leurs médecins:
Constitution Européenne des Droits de l'Homme
Article 8 - Droit au respect de la vie privée et familiale
1 - Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
2 - Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d’autrui.
Nous demandons les signataires de cette pétitions que les services de l'aide sociale à l'enfance est droit a l'obtention des délits des parents, et que sois considéré l'anxiété des parents et des enfants normale, et non pénalisant au tribunal, que les services sois à l'écoute pour favoriser le retour au domicile. Les placements deviennent trop nombreux. La justice doit eux aussi respecter la loi, et les droits de chacun, les lois ont mis des années a se faire, et elles sont réfléchis par plusieurs personnes, dans des intérêts et dans le respect de tous.
Les signataires